Les perturbateurs endocriniens agiraient encore plus fortement pendant le développement de l’enfant, de la grossesse jusqu’à la fin de la puberté. Pour les fœtus, les études montrent une augmentation des anomalies de développement avec des risques de naissances prématurées, de faibles poids à la naissance, de diabète ou d'obésité. Compte tenu de l’importance pour la vie entière des expositions durant la période des 1000 premiers jours de la vie sur le fœtus, le nouveau-né et le petit enfant jusqu’à 2 ans, Santé publique France s’intéresse tout particulièrement à cette période des 1000 jours.