Depuis plus de vingt ans, les pollutions des anciens sites miniers, ont donné lieu à la réalisation de nombreuses études dans le domaine environnemental ou sanitaire. Les inquiétudes des habitants ont été réactivées au moment des inondations de 2018.
Dans ce contexte, Santé publique France a été interrogée par l’ARS Occitanie sur la pertinence de reconduire des études de santé.
Santé publique France a alors proposé la mise en oeuvre d’une démarche de « Santé publique » qui donne la possibilité à la population de s’exprimer : le recueil des inquiétudes, des questionnements, des attentes et des savoirs locaux en lien avec les pratiques du territoire par les habitants, afin d’apporter des réponses au plus près des attentes de la population.
Cette étude, intitulée PRiOR pour « Pratiques et perception des risques par les habitants riverains de la vallée de l’Orbiel », est menée en partenariat avec des scientifiques de l’Université de Toulouse-Jean Jaurès (UT2J) et du CNRS.
